1. Autopoièse et
Auto-organisation
- J-P Dupuy
: "Not one, not two" : vers une nouvelle dialectique
- Thèse
: FV a toujours officiellement pris des distances avec ceux qui se
réclament de l'approche enactives en sciences sociales;
néanmoins, au moins dans la première partie de sa
carrière, il a manifesté un intérêt et un
investissement réels dans l'extension de ses idées au
domaine social.
- Lien
forts, dans les années 70, avec la "deuxième
cybernétique", i.e. Van Foerster, Illich. Un article paru dans
ces années illustre l'approche de FV "not one, not two" :
- notion
de "trinité" (qu'on peut semble-t-il rapprocher de la notion de
dialectique). La "troisième partie" est l'unité/le
domaine
d'existence constituée par l'interaction entre deux niveaux de
description qui donnent consistance à une forme, à savoir
la forme elle-même, et le processus de production de la
forme ("the It/the process leading to It").
- Analogie
(pas très
convaincante)
entre un graphe récurrent et un arbre "infini" qui
s'auto-réplique au sein même de sa structure.
- Cette
approche offre semble-t-il un cadre à la description de
phénomènes tels que :
- l'origine
de la monnaie en économie
- l'origine
de la vie en biologie
- l'origine
du sens/de la conscience pour les sciences de la cognition
où ces notions
(monnaie, vie, sens) sont à rattacher à cette
"troisième partie" qui est à la fois abstraite et
opérante.
- ref : Dupuy,J.P. and
F.Varela (1991) Creative circularities: Understanding origins.
in: F.Varela and J.P.Dupuy (Eds.) Understanding Origin,
Stanford
University Intl.Symposium, Boston Studies Phil.Sci., Kluwer, Boston,
pp. 1-27
- un article du web sur
la notion de trinité
- Pier Luigi Luisi : The experimental implementation of autopoiesis :
present state and outlook.
2. Dynamique et synchronisation
- B.
Renault : Les années LENA
- J.
Petitot : Neurodynamique et Cognition
- Notion de "dynamique
qualitative" comme un outil déterminant pour la
neurophysiologie.
- Ref
à Chr Zeeman (1965) :
- états
mentaux = attracteurs des dynamiques neuronales
- contenus
= structure topologique des attracteurs
- flux de
conscience = évolution lente des attracteurs
- Théorème
de plongement /dimension de plongement = projection d'un espace de
mesure de dimension n (le nombre de DDL du système
considéré) vers un espace de dimension m correspondant
à la dimension d'évolution objective de
l'attracteur du système, avec, semble-t-il, n>2m+1.
- Réseaux
d'oscillateurs : M. Le Van Quyen, H.
G. Schuster, F. J. Varela (1996): Fast Dynamic Coupling among Slow
Neuronal Oscillators, Int. J. of Bifurcation and Chaos, 6 (10),
1807-1816.
- Principe
général pour la modélisation : beaucoup de
dynamiques en interaction, localement modulaires, et globalement
interactives.
- Problème
: rendre une formalisation suffisamment riche pour être générative.
- J.-P. Lachaux :
Neurophénoménologie
et bio-feedback.
- Pb :
comment coupler des comptes-rendus à la première et
à la troisième personne?
- compte-rendu
à la 3ème personne : porte sur un espace neuronal (et
d'activités neuronales) dont on peut mesurer la
répartition/l'intensité/les synchronisations.
- comptes-rendus
à la 1ère personne : porte sur l'espace cognitif du sujet
= compte rendu a posteriori du vécu de
l'expérience (soit à très court terme, c'est
à dire pendant le déroulement de l'expérience,
soit
à moyen terme, c'est à dire après la fin
de l'expérience).
- Beaucoup
des variabilités observées durant les mesure sont
liées à des fluctuations de l'attention qui
influencent de façon massive l'activité
cérébrale.
- Le sujet
est vu comme un instrument de mesure d'un phénomène qui
est caché à l'expérimentateur. Question :
quelles sont ses limites en tant qu'instrument de mesure? Le
sujet doit acquérir une certaine familiarité avec son
expérience interne : capacité à maîtriser
son
niveau d'attention, à identifier des "clusters
phénoménologiques". Le sujet peut dire pendant le
déroulement de l'expérience "j'étais
concentré/j'étais distrait".
- Une
extension de cette approche consiste à utiliser la propention du
sujet à agir sur le contenu de ses pensées : induire des
transitions dont le caractère est endogène/produit
par le sujet.
- L.
Pézart : Dynamique et psychopathologie
- Notion de
"maladie dynamique"
- Sujets
dépressifs --> une dynamique plus simple, plus
prédictive.
- M. Le Van
Quyen : Là où le noeud se noue
- Notion de connectivité
fonctionnelle
- Notion de noyau
dynamique : constitution d'un sous-ensemble spécifique et
distribué (durée : 300-500 ms).
- dynamiquement
instable.
- pôle
de référence pour toutes les activités locales.
- Question :
comment les liens fonctionnels se nouent? --> description
mathématique sous la forme d'un réseau d'oscillateurs
couplés :
- M. Le Van
Quyen, H. G. Schuster, F. J. Varela (1996) -- voir ci-dessus --
- Kuramoto,
Y. Chemical Oscillations, Waves and turbulence, Springer
Verlag, New-York, 1984.
- Problème :
comprendre le flot d'information entre les différents
niveaux d'intégration : trois échelles temporelles
:
- 1/10 : dynamique
d'oscillateurs
- 1 : synchronisation d'un
cluster
- 10 : échelle
"narrative"
- J. Martinerie : Systèmes
dynamiques et anticipation des crises d'épilepsie
- Caractérisation des
pré-crises d'épilepsie
- signes environs 20 min
avant la crise
- D. Rudrauf : Equilibres/déséquilibres
neurodynamiques : la subjectivité dans l'organisation de la
résistance.
- Clôture
opérationnelle --> notion de couplage motivé
- Question de la capacité
d'éprouver : éprouver, c'est affronter des
transformations dynamiques de notre corps et de notre cerveau (à
travers une structure de référence qui nous
transforme et nous informe).
- réaction par rapport
à une informations qui n'a pas été prise
en compte.
- résistance à
la variance.
- identité qui
s'affirme.
- Construction d'un niveau
d'invariance aboutissant à un noyau dynamique qui résisteaux
perturbations.
- Contre quoi le
système résiste? Structure qui s'auto-perturbe.
- Utilisation de diagrammes
temps-fréquence pour mesurer des épisodes de convergence
vers un noyau dynamique (correspondant à des accrochages
sur une même fréquence).
- Ref : Rudrauf D., Lutz A., Cosmelli
D., Lachaux J.P. and Le Van Quyen M. (2003) From autopoiesis to
neurophenomenology : Francisco Varela's exploration of the
biophysics of being. Biol. Res., 36, 27-65.
- E. Rodriguez : Synchronic interactions at several cortical
scales
- Electrodes
fractales
- plusieurs
niveaux de description : à chaque niveau (neurone, colonne,
groupe), le même principe d'organisation prend place.
- Une stimulation locale
augmente les oscillations locales mais interrompt les oscillations
régionales
- Lors d'une stimulation, il
y a une forte baisse de l'activité globale.
- La région
stimulée s'"autonomise", se "coupe" du reste du réseau
- Les spikes sont produits
dans le creux des oscillations
- Conclusion :
- grandréseau oscillatoire,
faiblement synchrone pendant le repos.
- réseau oscillatoire
local, fortement synchrone pendant la stimulation.
3. Vision
- A.
Palacios : Approche énactive de la vision des
couleurs
- S. Neuenschwander : Viewing pieces, seeing pictures
- Travail sur le pigeon (1993)
- Question du binding problem
- Stimuli bi-stables
- D. Cosmelli
: Recurrence and spontaneity : brain dynamics during
multistable visual
- Recherche
d'expériences spontanées (qui ne soient pas
pilotées par les stimuli)
- Notion
d'assemblée neuronale : activité hiérarchiquement
organisée et fondamentalement spontanée.
- Illusion
perceptive:
- manière
de mettre en évidence la dynamique endogène du
système.
- oscillation
entre deux perceptions.
- Travail
sur la rivalité binoculaire :
- notion
de suppression et de dominance.
- possibilité
d'une exploration spontanée des percepts alternatifs.
- Neurophénoméno:
- invariants
intra-sujets
- invariants
inter-sujets
- On
n'impose pas l'instant où l'inversion de dominance a lieu.
- Les
régions impliquées dans l'expérience se
réactivent de façon récurrente (ou
intermittente).
- Dialogue
occipital/frontal.
- En
définitive, cette étude explore les bases neurologiques
de
la constitution d'un moment conscient.
4. Enaction
- P.
Bourgine : Vie artificielle et systèmes autonomes
- Distinction
entre systèmes autopoiétiques et systèmes
autonomes
- systèmeautopoiétique(propriété
plus forte, plus contraignante) : réseau de processus
produisant un réseau de composants reproduisant le réseau
de processus. Analogie possible avec la
théorie Marxiste : les producteurs sont reproduits par leur
production et les produits de l'économie servent à
reproduire la force de travail.
- système
autonome : système opérationnellement clos.
- le
cerveau est un exemple de système autonome non
autopoiétique.
- dx/dt=f(x,t)
avec f--> f+df et t-->t+dt
(système "apprenant")
- Théorie
de la perturbation des systèmes dynamiques : Freidlin, M., and Wentzel. Random Perturbations of
Dynamical Systems.New York: Springer, 1984.
- Autonomie :
- faire
émerger un monde de significations propres.
- comment
"vivre" avec des systèmes autonomes?
- Notion de dissonance
cognitive :
- analogie
entre la membrane d'une cellule et le contrôle des conditions au
bord.
- Le
cerveau anticipe le flot sensoriel et réduit le conflit entre
les anticipations et le signal effectif.
- J.
Stewart : Soi et non-sens : un nouveau regard sur le
système immunitaire
- Vie=cognition=autopoièse
: l'organisation circulaire du vivant et l'organisation circulaire
de la cognition ne font qu'une.
- L'immunologie
fait appel à des notions telles que : reconnaissance de formes,
apprentissage, mémoire, distinction soi/non soi.
- Ce que le
système immunitaire perçoit est le "soi", ce qu'il ne
perçoit pas est le "non-sens".
- Notion de
réseau idiotypique
- syst.
immunitaire central qui intègre les antigènes du soi.
- syst.
immunitaire périphérique.
- Modelisations
sous forme de simulations : formation d'une frontière
(adaptative) dans l'espace des antigènes...
- H. Bersini : Le
cercle des autopoiètes disparus
- Notion de
connectivité non homogène au sein d'un réseau avec
des noeuds "centraux" fortement connectés et des noeuds
"périphériques" à faible connectivité.
- J.-M. Roy : Comment peut-on
ne pas être représentationnaliste? Cognition,
énaction et représentation.
- L'approche énactive
refuse le représentationnalisme, ce qui peut être
sujet à débat : peut-on être
représentationnaliste sans trahir l'approche énactive?
- Un concept central est
celui de spécification de l'environnement : le monde
qui
émerge est façonné/défini par les
couplages corps/environnement ainsi que par la dynamique
d'auto-production (on peut
sans doute parler de co-production de soi et du monde issue des
couplages et des processus de production à
différentes échelles).
- L'activité cognitive
est une "building force" qui crée le sens/fait
surgir un monde
- Ex : la couleur est une
propriété nouvelle qui vient enrichir la
réalité et produit de l'activité cognitive.
- L'activité cognitive
est une propriété émergente du
mécanisme corporel (produit émergent de l'impact
de l'environnement sur le corps).
- Concept
sémantique de représentation : une représentation
vise ou fait référence à un objet de
l'environnement (intentionnalité de la représentation).
- L'approche
énactive prend(rait) comme référence
première le monde physique --> part du
présupposé du réalisme physique (j'ai quelques doutes sur ce point... Varela
utilise cependant souvent des modèles physiques
déterministes ou stochastiques pour illustrer le concept
d'énaction, donc?...).
- Selon J-M
Roy, et si on prend l'hypothèse du réalisme physique (si
j'ai bien compris...), le concept de représentation n'est
pas en contradiction avec l'approche énactive,
simplement:
- Dans le cas de
l'énaction, les représentations cognitives se
réfèrent à des objets qu'elles créent.
- S'il est acquis qu'il n'y a
pas d'isomorphisme entre la représentation et le monde en soi,
comme dans le cas de la couleur, on ne peut nier l'impact du monde sur
le corps (telle qu'une onde électromagnétique venant
frapper la rétine) .
- l'activité
(production interne, production externe) issue de l'interaction peut
donc être qualifiée de représentation, dans
la mesure où elle fait référence, ou du moins
trouve sa source, à/dans une structure de couplage
corps-environnement (il me
parait plus raisonnable de parler de représentation
comme référence à la structure de couplage
plutôt qu'à l'environnement seul...).
- Notes
personnelles :
- il me
semble que cette acception de la notion de représentation (comme
activité qui fait référence à une
structure de couplage qui la crée) est un peu hasardeuse... ou
en
tout cas fort éloignée des acceptions classiques. Si,
donc on joue avec les mots en appelant cela représentation,
alors OK, mais à quoi bon?
- Concernant
l'a-priori de l'existence d'un monde en soi (réalisme physique),
il me semble que FV a insisté sur la fait que
l'activité scientifique est une activité de
comptes-rendus --> le "monde en soi" des physiciens est le
résultat d'un consensus, mais ne constitue pas une
réalité ultime... Prendre pour point de départ ce
monde physique est donc un cadre de travail, mais ne constitue
pas une option philosophique.
5.
Neurophénoménologie
- E. Thompson : Emergence,
embodiment
and intentional causation.
- A. Lutz : Questions empiriques
posées par la tradition méditative Bouddhiste aux
neurosciences contemporaines : une étude préliminaire.
- Usage
heuristique/pragmatique de l'expertise phénoménologique
des méditants
- B. Pachoud : Quelques aspects des
contraintes mutuelles neurophénoménologiques
- Notion de contraintes
mutuelles entre les données phénoménologiques et
les données neurologiques.
- Caractérisation de
la prise de conscience :
- réduction
phénoménologique husserlienne
- pratique de l'explicitation
: description de l'expérience subjective fondée sur le
réfléchissement de cette expérience.
- la médiation
(présence attentive)
- Epoché :
- Suspension
(désengagement attentionnel)
- Redirection de l'attention
(vers le vécu - les actes opérés dans le
vécu -)
- Disposition de simple
accueil (changement de la qualité attentionnelle)
--> Conversion du regard / acte de prise de conscience
- Nécessité
pour la phénoménologie de disposer d'une connaissance des
processus attentionnels.
- L'investigation peut
être guidée par la connaissance des caractères
structuraux de l'expérience.
6.
Philosophie et éthique
- Amy Cohen-Varela : L'horizon
éthique
- Notion de
contrainte mutuelle :
- Langage=médiation
limitante
- Caractère
métaphorique des outils scientifiques ou de modélisation.
Ex : les systèmes dynamiques sont dans un rapport de
coopération et de contrainte mutuelle avec l'objet
étudié.
- Le corps vécu
différent du corps scientifique/technologique
- Métaphore su sujet
sans fondement (voir notion de vacuité plus bas...)
- Horizon éthique : la
vision nihiliste de l'individu dans la société
contemporaine doit être opposée à une forme
d'extension du moi (qui ne doit pas être un moi "dilué").
- Michel
Bitbol : La neurophénoménologie et "Mind and Life"
- Neurophénoménologie
<--> groupe "Mind and Life"
(dialogue Dalaï Lama/scientifs)
- Examen des
phénomènes du point de vue de la présence
attentive.
- Analogie : 2 angles
oculaires offrent une représentation en relief.
- Elargissement de la notion
de nature.
- Problème :
naturaliser sans réduire :
- Mise entre
parenthèse des concepts au profit des méthodes.
- C'est en
réintroduisant la vie humaine que l'on pourra réaborder
le
"problème difficile"
- réenraciner la
théorie dans le monde de la vie.
- rendre
génératives les contraintes entre neuro et
phénoméno. (note sur le mot
"génératif" : on a semble-t-il au moins deux niveaux
où la notion de générativité est
utilisée : les objets que l'on décrits sont
génératifs au sens où ils participent à la
construction du moi/monde, et la théorie qui décrit les
objets cognitifs doit elle même être
générative, c'est à dire participer à sa
propre extension)
- Importance d'un retour
à la première personne (et la prise de conscience de la
première personne) dans la pratique scientifique.
- Ref au colloque
de Cerisy sur l'auto-organisation (1981)
- Pour Cerisy, voir aussi...
- Claire
Petitmengin : Rencontrer l'expérience subjective
- Processus
cognitif = succession de gestes
intérieurs/clusters phénoménologiques
- Après 15 ans
d'études, il est très déroutant de se rendre
compte
de cette ignorance de soi-même. Possibilité d'une prise de
conscience de la structure de base de notre expérience par la
méditation.
- Nécessité
d'imaginer une pédagogie différente.
- Urgence sociale dans la
domaine médical et de l'éducation.
- Pratique de l'entretien
d'explicitation (en lien avec la PNL) - Notion de
deuxième personne -
- Notion de lâcher-prise
: nous fournissons des efforts incessants pour maintenir le monde
: on rebouche sans arrêts dans la construction incessante du moi
et du monde. A opposer au fait d'abandonner, de poser les armes.:
- Réaliser l'absence
de fondement des phénomènes : notion de vacuité..
- La perte des fondements est
indissociable de la compassion (renoncer à soi-même =
devenir joyeux, aimant).
- Prise en compte de
l'expérience humaine et de son potentiel de transformation dans
la pratique thérapeutique. But : transformer la
vision du monde et la vie dans le monde.
- Deux
pistes thérateutiques fondées sur l'introspection :
- Description de la
période pré-critique chez les épileptiques -->
tourner l'attention vers les processus internes. Possibilité de
maitriser la survenue d'une crise par la pratique de l'attention.
- Pratique de la
méditation contre la dépression.
- Nathalie
Depraz : Mettre la méthode
phénoménologique au travail dans des protocoles
d'expérience : passages génératifs entre
l'empirique et le transcendental.
- voir
aussi
- texte sur la
pratique phénoménologique
- Elements de vocabulaire
phénoménologique :
- "passage
génératif"
- "contraintes
génératives mutuelles"
- "requalification" =
"co-transformation"
- réduction
refaçonnée par une mise à l'épreuve.
- mise entre
parenthèses = Ne plus être intéressé par =
époché = suspension
- Husserl :
- mouvement de conversion
réflexive
- Viser l'acte de conscience
qui vise l'objet.
- Disposition mentale :
accueillir la générativité de l'expérience
- C'est le contraire d'une
méthode formelle
- 1ère, 2ème,
3ème personnes : dynamique/tissu relationnel.
- Invitation à
s'exercer proposée par l'expérimentateur.
L'expérimentateur a son rôle à jouer : il propose
un
espace de suspension/d'époché.
- Jean-Michel Besnier
:Pour
une éthique sans délibération
- Question
de la pratique de l'éthique.
- Affronter
l'absence de fondements sans en faire quelque chose de négatif.
- Ethique =
une des modalités du couplage structurel.
- Le
savoir-faire d'un expert écheppe à la méthode/la
déduction :
- Pas de
délibération
- Difficle
à expliciter/élucider
- On peut
être excellent sans avoir la théorie de ce savoir (Platon
--> Ménon).
Annexe
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